Bienvenue

• Nous avons pris des mesures importantes pour résoudre les problèmes clés, grâce au calibre et à l'engagement de nos partenaires et bailleurs de fonds.

  Une éducation et un travail de qualité guideront l’avenir de l’Afrique subsaharienne 

  D'ici 2050, la jeune population africaine augmentera de près de 50% et 450 millions de travailleurs devraient intégrer la population active au cours de la prochaine décennie. L’accès à une éducation de qualité et à des possibilités d’emploi pertinentes sera essentiel pour déterminer si la plus grande population de jeunes au monde devient une occasion extraordinaire de sortir des millions de personnes de la pauvreté ou une crise majeure pour la région et le monde. 

  Focus sur l'enseignement supérieur et son lien avec le marché du travail 

  Le rôle des collèges, des universités et des formations professionnelles joue un rôle important dans le renforcement des compétences et des connaissances des jeunes pour le monde du travail. 

  Nos trois principaux domaines d'intervention abordent des questions complexes pour un changement à long terme:

  • La recherche sur l'éducation par des chercheurs en Afrique subsaharienne utilisée pour changer la politique et améliorer l'éducation

  • Le manque d'universitaires et de personnel dans l'enseignement supérieur et

  • L'efficacité et accessibilité des bourses pour les jeunes.

  Notre contribution: s'associer, informer et inspirer pour augmenter son impact 

  Nous inspirons ceux qui travaillent dans le domaine de l'éducation et ceux qui ont les ressources pour l'améliorer, à travailler ensemble. Plus que jamais, les décisions doivent être prises sur la base de preuves qui peuvent être étendues pour améliorer le plus de vies. 

  J'espère que vous vous êtes inspiré jusqu'à présent de notre travail. Si vous souhaitez partager vos idées, vos compétences ou votre partenariat de manière plus formelle avec nous, veuillez nous contacter. 

  Olaf Hahn, directeur général, ESSA 

  Patrick Dunne, président, ESSA 

Notre Impact

• 1.Nous avons rendu plus accessibles les recherches essentielles sur l'éducation menées par des universitaires en Afrique subsaharienne.

  Il existe une multitude de recherches sur l'éducation par des chercheurs en Afrique subsaharienne. Mais ces recherches ne sont souvent pas suffisamment utilisées aux niveaux national, régional ou mondial pour résoudre les problèmes de l'éducation. 

  Notre contribution à la résolution de ce problème: 

  • Notre première étape a été de réunir des chercheurs d’Afrique subsaharienne avec des chercheurs du monde entier, notamment en soutenant l’Association ivoirienne des chercheurs en éducation pour cartographier la recherche en éducation en Côte d’Ivoire et s’assurer qu’elle est utilisée dans le monde entier. 

  • Aux côtés du centre d'accès et d'apprentissage équitables (REAL) de l'Université de Cambridge, nous avons créé la base de données de recherche sur l'éducation en Afrique (AERD).

  • Ces preuves peuvent être utilisées pour changer les politiques et résoudre les défis de l'éducation. La base de données met en évidence les lacunes de la recherche en éducation. Ceci est particulièrement crucial pour les domaines sous-recherchés identifiés dans la base de données (tels que l'éducation aux conflits). 

  Nos prochaines étapes pour atteindre un impact plus large: 

  • Ce travail a mis au jour des domaines clés pour l'investissement dans la recherche, tels que la nécessité d'une communauté de recherche plus inclusive avec l'égalité des sexes au cœur.

  • Nous continuons à soutenir le réseau de chercheurs pour inspirer le changement de politique dans l'enseignement supérieur à travers l'Afrique subsaharienne.

• 2. Nous avons pu calculer précisément le manque de professeurs dans les collèges et universités du Ghana, en développant une méthodologie qui peut être utilisée ailleurs en Afrique.

  Les collèges et universités d'Afrique subsaharienne n'ont pas suffisamment de personnel pour répondre à la demande croissante d’éducation. En conséquence, de nombreux jeunes en Afrique subsaharienne n'obtiendront pas une éducation de qualité qui leur permettrait d’acquérir des compétences pour le monde du travail. 

  Notre contribution à la résolution de ce problème: 

  • Notre première étape a été de rassembler des preuves sur le corps professoral actuel en examinant des politiques telles que le ratio élèves-enseignant, le sexe du corps professoral et le domaine d'enseignement. Nous avons d'abord travaillé avec le Ghana parce que les taux d'inscription dans les universités et les collèges du pays augmentent rapidement. 

  • Pour ce faire, nous avons rejoint un réseau de partenaires experts composé de l'Association africaine des universités (AUA), du Conseil national ghanéen pour l'enseignement supérieur, du Population Reference Bureau (PRB, une institution de recherche de premier plan sur la démographie), et avec le soutien de la Fondation Mastercard. Ensemble, nous avons réalisé une étude pilote, la «Démographie des professeurs», qui a analysé les données de 213 universités et collèges du pays. 

  • L'étude a informé le gouvernement ghanéen et les établissements d'enseignement d'une analyse détaillée de la situation actuelle de leur corps professoral. 

  • Ajouter ce texte au graphique: le Ghana a besoin de cinq fois le nombre actuel de personnel universitaire public pour répondre à un nombre croissant d'étudiants 

  Nos prochaines étapes pour atteindre un impact plus large: 

  • Nous étendons notre travail à d'autres pays d'Afrique subsaharienne pour mettre en évidence les défis, renforcer les établissements d'enseignement et accroître les investissements dans l'enseignement supérieur. 

  • Nous développons des outils pour les collèges, les universités et les organisations afin de planifier l'allocation des ressources pour l'inscription des étudiants.Nous continuerons de travailler avec nos partenaires pour utiliser initialement ces outils au Ghana, puis nous adapter à d'autres pays d'Afrique subsaharienne. 

• 3. Nous avons cartographié l'efficacité et l'accessibilité des bourses pour les jeunes en Afrique subsaharienne

  Alors que la demande d’éducation augmente dans le plus jeune continent du monde, les bourses d’étudiants augmentent également. Pourtant, il existe peu de preuves pour savoir si les bourses aident les jeunes à rejoindre le marché du travail et peu de suivi du retour sur investissement du financement. 

  Notre contribution à la résolution de ce problème: 

  • Nous avons réalisé un travail de premier plan en associant des universités, des étudiants et plus de 350 prestataires qui offrent des bourses à des jeunes en Afrique subsaharienne pour apprendre les meilleures pratiques.

  Les principaux défis que nous avons trouvés étaient: 

  • Accessibilité des bourses pour les plus marginalisés 

  • Un manque de suivi de l'impact des bourses sur la société au sens large 

  • Faible taux d'achèvement 

  • Engagement entre les boursiers, les universités et les étudiants 

  • Relier les diplômés des bourses à un travail décent. 

  • Sur la base de ces défis, nous avons développé un ensemble d'indicateurs de performance clés (KPI) pour l'inclusion sociale dans les programmes de bourses, fournissant des conseils aux prestataires et aux bailleurs de fonds. 

  Nos prochaines étapes pour atteindre un impact plus large: 

  • Ce travail a directement alimenté le rapport de l'UNESCO sur le suivi mondial de l'éducation 2020 (GEM) sur l'éducation et l'inclusion, lancé en avril 2020. Nos conclusions seront partagées publiquement dans ce rapport à la section 4.b. 

  • Notre objectif est de continuer à rejoindre une communauté d'experts avec une vision commune pour augmenter la qualité et l'impact des bourses pour les étudiants d'Afrique subsaharienne. 

  • De plus, nous lançons une plate-forme Web associant des étudiants d'Afrique subsaharienne à des possibilités de bourses. 

• Graph Legend

  • Enseignants pour remplacer ceux qui quittent le système : Besoin d’enseignants pour remplacer ceux qui quittent leur poste (en supposant que 5% des professeurs et 10% du personnel enseignant quittent chaque année académique).

  • Croissance annuelle des inscriptions : Besoin d’enseignants pour répondre à la croissance des inscriptions d'étudiants (en supposant une augmentation annuelle constante de 5%).

  • Titulaires d'emplois non vérifiés, improductifs et assurant plusieurs postes en même temps : Besoin d’enseignants pour remplacer ceux qui existent nominalement sur la liste des salariés des universités mais qui n’existent pas (‘fantômes’), ceux qui ne sont pas productifs (‘zombies’) et ceux qui occupent plusieurs emplois d'enseignement / de recherche à la fois (‘moonlighters’) (ce qui signifie que le nombre d’enseignants est actuellement surestimés de 5%).

  • Enseignants par discipline : Besoin d’enseignants pour correspondre aux prescriptions politiques sur la répartition des étudiants dans toutes les disciplines (60% des étudiants en sciences et 40% en sciences humaines/sociales) et pour correspondre aux prescriptions politiques quant au nombre d’étudiants par enseignant.

  • Nombre d’étudiants par-enseignant : Besoin d’enseignants pour correspondre aux prescriptions politiques (18 : 1 en sciences, 27 : 1 en sciences humaines/sociales).

  • Égalité entre les sexes : Besoin d’enseignants pour établir une distribution égale entre hommes et femmes enseignants (en supposant que les projections du besoin d’enseignants pour 2025 maintiendront la distribution actuelle et qu'une augmentation supplémentaire au niveau du recrutement de femmes est nécessaire pour atteindre la parité).